Robin “Mestre” Effulgens

Robin "Mestre" Effulgens

Un des créateurs des Chroniques de Nebomore.

Connu sur le web sous le pseudo Effulgens, il est un simple joueur de jeux vidéo s’étant épris depuis quelques années pour le jeu de rôle. Grand lecteur et amateur d’histoire, celle avec un grand “H” chère à Stéphane BERN, il passe le plus clair de son temps plongé dans quelques univers alternatifs. Loin de s’exclure du monde comme certains pourraient le penser, il en tire de nombreuses références qui se retrouvent au fil de ses discussions et surtout au cœur de ses parties de jeu de rôle autant quand il est simple joueur ou maître du jeu.

Comment il est tombé dans le JDR

C’est au cours d’une Japan Addict (Strasbourg) qu’il s’essaie pour la première fois à cette pratique. Incarnant un biélorusse à la musculature surdéveloppée, il passera une partie du scénario nu dans un champ de maïs breton. Même si la partie lui a laissé un goût amer en bouche, celui provenant de la sensation d’avoir fait n’importe quoi comme un gros débutant au détriment des autres joueurs, il se lancera ensuite très vite dans la maîtrise. Son cercle d’amis de l’époque, bien qu’étant amateur du Donjon de Naheulbeuk, ne jouait pas encore. Et c’est donc tout naturellement qu’il a entraîné un certain nombre d’amis avec lui, dont Mathieu “Maphis” Sigwalt qui continue encore et toujours à jouer à la majorité de ses tables. Soit cela lui plaît, soit il est masochiste.

Les raisons d’adhérer au projet

C’est avec la création de son propre univers, et surtout sa formalisation récente, qu’il développe sa passion. Le projet Nebomore, dans la continuité de l’univers développé sur les tables de son lycée, lui permet une grande liberté et lui donne une raison, bien commode, de s’intéresser à tout un tas de sujets. Des faits historiques les plus étranges aux cultures les moins connues, en passant par diverses questions architecturales et sociales.

Sa vision du monde

Avant toute chose, il convient de préciser qu’il se concentre généralement sur l’aspect médiéval des jeux de rôles. Bien que la SF et autres lui plaisent, son cœur bat secrètement dès qu’on utilise le mot chevalier en sa présence. Ce n’est donc au final qu’une vaste excuse pour continuer à rêver de combat à l’épée et de château forts, comme quand il était enfant devant un épisode de “C’est pas sorcier”. Ce côté historiquement crédible entraîne une volonté de sa part d’appuyer ses parties sur le monde réel, son histoire et ses mécaniques, et sur d’autres univers reconnus. En sachant allier le tout pour être tout à la fois pertinent et crédible.

Son parcours de joueur

C’est donc avec le Donjon de Naheulbeuk que sa formation démarre réellement. Il en garde d’ailleurs un goût pour les situations foireuses, débiles et catastrophiques. C’est fort pratique en “one shot” mais quelque peu dérangeant sur des scénarios plus sérieux qui lui demandent un effort particulier. Certes ils seront joués avec plaisir et entrain, mais sa nature profonde tendra à surtout vouloir s’amuser.

Ses genres préférés

Est-ce utile de préciser qu’il s’agit du Med-Fan à la Seigneur des Anneaux ?

Ses influences

  • Le Donjon de Naheulbeuk
  • Le Seigneur des Anneaux
  • L’histoire médiévale
  • Sa formation de bibliothécaire (pour certains aspects hrp du projet)
  • Les jeux vidéos
  • Ses années de fac (de japonais et de parties à la cafèt autour d’un cidre)

Une citation

Le fait de devoir faire corriger tous mes textes par Mathieu lui permet de se tenir informer au jour le jour des évolutions que connaît le projet. C’est, je dois avouer, la plus grosse excuse de sac que j’ai pu trouvé jusqu’à présent. Ah et les lignes ci-dessus sont écrites par moi-même à la troisième personne, ce qui est un exercice sympathique et un peu mégalomane.

Une remarque de Maphis à son propos

Inconsciemment entropique, mon Maître fourmille d’idées aussi géniales que confuses. Heureusement qu’il sait s’entourer d’amis/larbins/pigeons tels que moi pour remettre l’ordre et l’haurtograffe au goût du jour. Son existence (au sein du projet mais également dans la vraie vie) est à la fois mirifique et catastrophique. (Sortez moi de là…)